*Comment abordez-vous cette nouvelle année Mme la Présidente?
Tout d'abord je voudrais formuler au nom de notre Amicale des voeux de bonheur et santé. Je pense, en particulier, à certains de nos adhérents qui se trouvent dans des situations précaires ou en proie à des traitements ou soins lourds.
Pour répondre à votre question, je suis confiante sur la pérennité du bénévolat qui est la première richesse de nos associations.
Je ne peux qu'encourager les volontaires à se manifester, car c'est cet esprit solidaire qui fait oublier la fatigue, les contraintes, voire quelquefois la monotonie de fonctionnement de nos structures.
*Quel sera votre programme pour 2012.
Nous développerons les perspectives de nos différentes activités lors de notre assemblée générale le 21 prochain, mais dès à présent je pense pouvoir dire que grâce à la coordination des calendriers, nous pourrons maintenir plusieurs lotos dans l'année (certainement au nombre de 3).
Dans un autre domaine, un groupe d'administrateurs travaille, pour finaliser un dossier en perspective d'une journée récréative.
*Que deviennent vos activités traditionnelles?
Je pense que vous voulez parler de la GYM'DETENTE, des RANDONNEES PEDESTRES, des JEUDIS APRES-MIDI, et des ATELIERS INFORMATIQUES.
Et bien ces activités perdurent avec succès et peuvent représenter l'équivalent temps passé, d'une personne à mi-temps. Bravo aux animateurs qui donnent beaucoup d'eux mêmes.
*Pourquoi accordez-vous autant de place au bénévolat?
Tout simplement parce que les deux bénéfices du bénévolat sont le plaisir et l'utilité.
Cela nous permet d'avoir un autre regard sur la société: on n'est pas "couineur" mais un acteur, même si ce rôle peut être voué aux critiques.
Concernant le plaisir, c'est croire aux projets de l'association et d'avoir envie de les transmettre à nos fidèles adhérents.
*N'est-ce-pas fatigant?
Certes, ce n'est pas rose tous les jours, on a du mal à mesurer les exigences que l'on ne soupçonne pas. Mais nous avons cette faculté de dire le jour où on en a assez "je m'en vais". Nous ne sommes pas dans cette situation.
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